Comment sexer une perruche calopsitte ?
La calopsitte (Nymphicus hollandicus) est la plus petite variété de cacatoès au monde. C’est une espèce endémique d’Australie et un merveilleux animal de compagnie. Mais lorsque sonne l’heure de choisir ce compagnon à plumes ou de trouver un partenaire à celui que vous avez déjà, un doute se profile. Comment reconnaître les mâles des femelles ? Le dimorphisme est-il apparent et si oui, quels en sont les indicateurs ? C’est ce que nous allons tâcher de vous expliquer ici.
Mâle et femelle sont aisément dissociables pour la plupart des mutations, sans pour autant qu’il soit nécessaire d’avoir un oeil exercé, comme c’est le cas chez d’autres psittacidés.
Chez le mâle, l’ensemble de la face est d’un jaune assez soutenu. Il en va de même pour ses joues, qui sont d’un bel orange vif. En revanche, le dessous de sa queue est relativement terne, puisque sa couleur est uniforme.
Chez la femelle, c’est l’inverse. En effet, le jaune de sa face est relativement pâle ainsi que ses joues. Cependant, le dessous de sa queue est relevé de superbes stries jaune pâle et grises parfaitement visibles. Ainsi aucun doute n’est possible.
Néanmoins, il n’est pas toujours facile de sexer les juvéniles, car ils se ressemblent jusqu’au terme de leur première mue. Cette dernière survenant entre six et neuf mois, il est donc préférable d’attendre qu’un sujet soit âgé d’au moins un an pour avoir une certitude. De plus, pour certaines mutations, ce code de couleur n’est pas respecté non plus. Un sexage par le biais d’un test ADN est alors nécessaire.
Pour vérifier si vous avez bien compris comment les différencier, voyons si vous êtes en mesure de discerner le sexe des spécimens visibles dans l’image ci-dessous…
Source : angelk
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